(Société Civile Médias) – La définition du coaching comme profession à part entière et la reconnaissance d’un [vrai] coach dans son professionnalisme a très longtemps été un casse-tête à l’opinion africaine. Cette situation n’est pas due au fait qu’il n’y a pas de bons coachs, des coachs compétents ou crédibles et portant authentiquement le flambeau de la profession, mais parce que leur nombre était inférieur par rapport à ceux qui, portant aussi mais plus audiblement le titre, ont glissé consciemment ou inconsciemment des informations qui ont porté in fine atteinte à la perception sociale du coaching en général. Comment, en effet, départager le professionnel du praticien amateur ? Comment les Coachs peuvent-ils faire valoir leur professionnalisme ? Comment peuvent-ils développer une identité de métier spécifique et comment définir celle-ci ? Dans quelle mesure le praticien du coaching peut-il exister professionnellement dans un monde de plus en plus communicant si son identité apparaît floue ou fragile ? Les réponses à ces questions sont à retrouver dans le volet 1 de cette interview d’Adamas Koudou, Docteur honoris causa en Coaching et développement personnel. Ce premier volet aborde essentiellement la définition du coaching, la différence et le lien entre coaching et développement personnel, la professionnalisation du coaching ailleurs et en Afrique, ainsi que son organisation sur le continent.
Le coaching, que l’on définit comme un travail d’accompagnement et de développement personnel, existe sur le continent africain depuis plusieurs années déjà. Toutefois, pourquoi est-il si difficile de définir le coaching comme profession à part entière et de reconnaitre un vrai coach dans son professionnalisme ?
Nous répondrons à cette question en deux étapes. La première sera la définition du coaching (pour mémoire), et la deuxième identifiera quelques raisons qui justifient la difficulté de définir le coaching comme profession à part entière sur le continent africain.
Définition du coaching
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Le coaching a plusieurs facettes. Dans l’ouvrage « Les 21 leçons stratégiques pour mieux comprendre le coaching et s’établir coach de pleine légitimité » paru aux éditions SENAKPON en 2023, nous en avons détaillé sept : Le coaching comme une posture que toute personne peut adopter, le coaching comme une compétence de management, le coaching comme une science de traitement basé sur le cerveau, le coaching comme une méthodologie de résolution de problèmes ou de perfectionnement dans n’importe quel domaine, le coaching comme un outil de recherche des voies possibles sur un système ou dans un système, le coaching comme une raison d’être et en fin, le coaching comme une activité économique à l’instar du conseil.
En tant que profession, le coaching est l’accompagnement professionnel d’une entité autonome, dans un temps limité, à la réalisation de progrès mesurables. Il permet d’accompagner une personne à l’activation et au développement de son potentiel latent, se traduisant par l’accomplissement de progrès mesurables en vie privée ou professionnelle, et contribuant à son autonomisation. Le coaching est une méthodologie qui consiste à accompagner suivant un protocole(1), une personne, à trouver ses propres solutions.
Un protocole articulé autour de 5 principes (KOUDOU, 2023) :
- La personne (coachée) a le pouvoir de décider pour elle-même
- Le temps de l’accompagnement est bien déterminé
- L’accompagnement contribue à l’autonomisation de la personne
- L’accompagnement est fondé sur une posture éthique
- L’accompagnement est centré sur les ressources de la personne coachée.
Cette définition précise à la fois l’objet et le mode de l’accompagnement, le profil du bénéficiaire, et les conditions ou prérogatives de sa mise en œuvre : le coaching est une relation éthique, coopérative et temporaire, entre un coach et une personne ou une équipe, visant à dynamiser cette dernière (la coachée), dans la réalisation d’un projet.
Lire aussi : Coaching : Trois questions pour comprendre l’ouvrage « Les 21 leçons stratégiques » du Togolais Adamas Koudou
Différence et lien entre Coaching et développement personnel
Il existe plusieurs territoires du coaching, parmi lesquels, la croissance personnelle. Tous les domaines de coaching d’une manière ou d’une autre, prendront leur départ du coaching de la croissance personnelle (ou coaching en développement personnel). Il est donc important de ne pas définir le coaching lui-même comme étant le développement personnel. Le développement personnel est une chose, le coaching en est une autre. La seconde aide à réaliser la première, car il est impossible de réussir quoi que ce soit, si je ne sais pas qui je suis vraiment. La découverte de soi ou le voyage vers soi est indispensable dans tout processus de coaching. L’être d’abord, puis la santé, les finances, les relations… par la suite. Quoi que l’« être » seul ne suffise pas et qu’il lui faille savoir se déployer dans les autres secteurs de sa vie, il reste tout de même le centre de tous ces autres secteurs de sa propre vie.
Toutefois, pourquoi est-il si difficile de définir le coaching comme profession à part entière et de reconnaitre un vrai coach dans son professionnalisme ?
Pourquoi est-il si difficile de définir le coaching comme profession à part entière et de reconnaitre un vrai coach dans son professionnalisme, sur le continent ?
La définition du coaching comme profession à part entière et la reconnaissance d’un [vrai] coach dans son professionnalisme est restée un casse-tête à l’opinion africaine. La question se repose : « au nom de quoi sont coachs ou pas, ceux qui se font appelés ainsi ? Pourquoi une bonne partie de la société a du mal à comprendre et reconnaitre d’une lecture unique qui est un coach comme professionnel de l’accompagnement, sur quoi se fonde sa légitimité, ce qu’il fait exactement comme métier et comment il le fait » ?
Cette situation n’est pas due au fait qu’il n’y a pas de bons coachs, correctement formés et justifiant d’un excellent niveau de pratique, des coachs compétents ou crédibles et portant authentiquement le flambeau de la profession. Cette situation est causée par le nombre inférieur de ceux-ci, par rapport au nombre de ceux qui, portant aussi le titre (par autoproclamation ou usurpation) mais qui portent plus audiblement le titre, et ayant glissé consciemment ou inconsciemment des informations et des pratiques incorrectes qui ont porté in fine atteinte à la perception sociale du coaching en général.
Comme conséquence, (Rapport JSIC-2023) les professionnels du coaching souffrent sur le terrain de leur profession, chacun devant se défendre seul pour justifier sa crédibilité vis-à-vis de son public. Les instances officielles auront du mal à s’ouvrir pour collaborer dans le cadre d’un processus de reconnaissance officielle du métier, et la société aura elle aussi du mal à reconnaitre d’une lecture unique, qui est coach de qui ne l’est pas, que fait le coach concrètement comme métier, en différence à toute autre posture d’accompagnement (KOUDOU, 2023).
Cette situation n’est certainement pas une bonne concurrence au nom de la loi du marché libre, mais un désordre temporaire qui se veut laisser place à tous les facteurs qui repositionneraient le coaching à sa place d’un réel savoir-faire disposant d’un objet et d’une méthode unanimement reconnus.
Comment, en effet, départager le professionnel du praticien amateur ? Comment les Coachs peuvent-ils faire valoir leur professionnalisme ? Comment les coachs peuvent-ils développer une identité de métier ? Dans quelle mesure le praticien du coaching peut-il exister professionnellement dans un monde de plus en plus communicant si son identité apparaît floue ou fragile ?
L’absence de réglementation du secteur du coaching en Afrique surtout francophone, causera la grande difficulté de bâtir une véritable carrière dans ce domaine. L’amalgame que font les gens entre le Coaching et le Conseil résultant de la méconnaissance du secteur rendra ainsi le « business model » du coaching peu rentable en Afrique surtout francophone.
Parlons un peu de la professionnalisation du coaching. A quoi fait-on allusion lorsqu’on évoque cette notion ?
Hugues (1996, cité dans Flahault et Dussuet, 2010, p. 36), définit la professionnalisation comme « processus de reconnaissance, par l’ensemble social, de l’exclusivité à exercer et de la légitimité à réguler l’activité dans un domaine déterminé ».
La professionnalisation est donc le processus d’évolution des activités traditionnelles marquées notamment par l’amateurisme, vers un statut dit professionnel, c’est-à-dire nécessitant des compétences spécifiques pour l’exercer. Il sera important d’examiner les éléments de la littérature scientifique traitant des différentes motivations, stratégies et conséquences du processus de professionnalisation d’une profession libérale, tant du point de vue organisationnel qu’individuel.
- Du point de vue organisationnel, la professionnalisation du secteur réfère à la constitution d’une profession, à travers la volonté collective des coachs d’être reconnus comme professionnels. Que le coaching soit perçu comme une nouvelle profession à constituer (développement d’un savoir-faire, de règles reconnues et d’une déontologie) ou comme un métier préexistant recherchant une reconnaissance officielle, la quête de légitimité et de reconnaissance sociale est l’objectif sous-jacent.
- Du point de vue individuel, la professionnalisation représente un processus de spécialisation et d’élévation des compétences (Bernardeau-Moreau, 2006). L’accent est alors mis sur le processus de formation en tant que tel, dans le but d’acquérir des compétences propres au coaching reconnu comme une activité professionnelle. Dubruc et Badour (2011, p. 49) considèrent que la professionnalisation est avant tout une démarche pour « devenir un professionnel dans le cadre d’une formation co-construite en appui sur une analyse réflexive de sa pratique ».
- Si elle n’est qu’à ses débuts sur le continent africain, la professionnalisation du coaching est effective en Occident depuis plusieurs années déjà. Comment s’est-elle organisée aux Etats-Unis et en Europe ?
Structuration de la profession de coach aux Etats-Unis, en Europe et en France
Créée en 1995 aux États-Unis par Thomas Leonard avec le soutien d’autres personnes, l’ICF (International Coach Federation) est à l’origine de la reconnaissance et de la professionnalisation du coaching aux États-Unis, en Europe, en Asie et dans plus de 120 pays aujourd’hui. Le But était de créer un espace permettant à tous les coachs de se soutenir mutuellement et de contribuer au développement de la profession.
En 1989[1], tandis que le coaching et mentoring professionnels devenaient alors une nouvelle pratique en Europe, un groupe de professionnels partageant les mêmes idées ont estimé qu’il devait y avoir un « Code of Practice » commun et une base éthique commune pour les coachs et les mentors. On peut citer David Megginson, David Clutterbuck, Eric Parsloe, Sir John Whitmore, Myles Downey et Peter Bluckert. Leur point commun était qu’ils n’étaient pas eux-mêmes que de simples praticiens, mais étaient également impliqués dans la formation de coachs et de mentors. Ils voulaient que leurs élèves reconnaissent une norme éthique commune puis l’appliquent dans leur travail. Cette synergie donnera naissance à l’EMCC (l’European Mentoring and Coaching Centre (EMCC) en 1992. L’International Coaching Federation (ICF) sera déclinée en France en 1999 et en 1996, La première fédération française de coachs, Société française de coaching, (SFCoach) sera créée.
- Reconnaissance progressive du métier de coach
Malgré ces initiatives telles que relatées ci-avant, jusqu’en 2008, le charlatanisme n’était pas absent (KOUDOU, 2023) du continent européen. Comme preuve, des enquêtes[2] réalisées par le Syntec (2004), la SFCoach (2005) et l’ICF (2006), concluaient qu’il était encore difficile de dire qu’il existait un métier de coach à proprement parler. Les processus de certification n’étaient pas encore labellisés. En France, aucun titre ou diplôme ou certification n’était encore enregistré au CNCP (Conseil national de la certification professionnelle). Les associations n’étaient pas sans souffrances lors des premières années de leurs créations.
- Début de fonctionnement des outils de régulation.
2014 sera une année majeure pour le coaching professionnel en Europe. Les principales fédérations professionnelles européennes (la SFCoach, l’EMCC et l’ICF) signeront un accord avec l’Union européenne (accord dit « de Bologne »), qui instituera l’auto régulation des métiers du coaching professionnel à travers ces fédérations dans chacun des pays de l’Union Européenne (UE)[3].
En 2016 le métier de coach professionnel sera reconnu officiellement en Europe ; la France inscrira le coaching professionnel au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP)[4],[5]
En 2019 en France, le Syndicat interprofessionnel des métiers de l’accompagnement, du coaching et de la supervision (SIMACS) sera créé par le regroupement de plusieurs organismes, dont deux fédérations internationales (EMCC France, ICF-France), deux associations professionnelles françaises (Société française de coaching, ou SFCoach, et PSF) et le Syndicat interprofessionnel des métiers de l’accompagnement, du coaching et de la supervision (SynPAAC)[6]. Le SIMACS rejoindra ainsi la Fédération des métiers de la prestation intellectuelle du conseil, de l’ingénierie et du numérique (CINOV) dans sa branche « Bureaux d’études techniques, cabinets d’ingénieurs conseils et sociétés de conseil (BETIC)[7] ».
Finalement, comment la professionnalisation du coaching est-elle arrivée en Afrique ?
La volonté d’organiser leurs sociétés et d’anticiper les désordres sociaux, ont permis aux occidentaux d’initier très souvent une démarche collective et forte, à créer l’équilibre et le vivre-ensemble.
En suivant cet exemple, nous pouvons aider le coaching à prendre forme, puisqu’à cause de son utilité démontrée, sachant qu’aucun éveil intérieur profond et durable ne se produit plus sans cette outil unique qu’est le coaching, afin de s’en servir au plus tôt, en ces temps d’urgences panafricanistes.
Un autre enjeu majeur est celui de l’importation du modèle occidental sans aucune adaptation, à l’Afrique. L’ICF, l’EMCC et tous les autres se transporteront dans les pays d’Afrique, et nous n’aurions été capables de donner nos propres couleurs à cette profession, mais demeurerions de simples consommateurs. A nous de jouer !
Comment cette professionnalisation s’est-elle organisée et comment a-t-elle évolué ?
La naissance d’Associations professionnelles, la création d’Ecoles / Programmes de formation au coaching, l’initiation d’événements majeurs valorisants le coaching… vont positionner des personnalités de grande influence dans le secteur du coaching en Afrique.
Toutefois, la disparité des pratiques des coachs, la confusion des limites des pratiques des coachs avec celles d’autres métiers, l’absence de référentiels de compétences adaptés, la pluralité de coachs surtout autoproclamés et sans supervision… demeurent des constats qui fragilisent l’identité professionnelle du coach en Afrique.
Deux axes majeurs contribueront à la professionnalisation du coaching en Afrique :
- L’organisation des coachs aux niveaux nationaux dans les pays en Afrique
Les associations pays des coachs sont normalement une réponse à la professionnalisation des pratiques, la régulation du secteur, le renforcement de capacités, en vue d’assurer au Coaching en Afrique sa plus grande crédibilité, comme discipline valorisant et décuplant les potentiels des hommes et de leurs organisations, au service du développement de nos nations africaines. Entre autres, ces associations professionnelles nationales auraient pour missions, de :
- favoriser le partage des expériences dans un cadre professionnel,
- veiller au respect des codes éthique et déontologie des associations
- offrir à leurs membres un cadre de réflexion, d’échange et d’enrichissement sur le coaching, développer une synergie entre les praticiens de l’accompagnement de vie et les acteurs de développement.
Cependant, cette réponse est paralysée par le manque d’engagement des membres des différents organes, la faible gouvernance, le manque de mobilisation des membres des associations, la faible crédibilité des associations auprès des autorités administratives, l’absence d’organisation stratégique déclinée en plans d’actions annuels pour encourager la participation et l’engagement des membres.
Un autre grand frein à la professionnalisation du coaching est le manque de collaboration entre les associations tant au niveau national que sur le continent. L’émiettement en petites structures serait ainsi un obstacle à la réussite d’un mouvement de professionnalisation du coaching. Les fédérations peuvent soutenir le processus de professionnalisation de façon intéressante, et contrer, par cela, ce problème d’émiettement. Ceci débouche sur le deuxième axe.
- Les regroupements : réseaux et fédérations au niveau continental
L’Afrique a besoin de se hisser au niveau des exigences et standards internationaux. Elle a besoin de produire des coachs correctement formés et adhérant à des normes éthiques élevées, avec un niveau de professionnalisme satisfaisant à des exigences strictes en matière de formation et d’expérience, et démontrant une compréhension approfondie des compétences de coaching qui établissent la norme dans la profession (KOUDOU, 2023).
Dubruc et Badour (2011, p. 60) indiquent que « le poids du réseau national et sa façon de mobiliser ses associations adhérentes sont deux éléments importants dans la réussite d’un tel dispositif [de professionnalisation] », notamment au moyen d’un partenariat entre les réseaux nationaux d’associations et un institut de formation.
Dès 2023, la tenue des Journées scientifiques internationales du Coaching (JSIC) proposera un cadre inclusif de réflexion de haut niveau, de confrontation des acquis de différentes sources et de production scientifique, pour contribuer au processus de normalisation du coaching. La naissance du Conseil Africain du Coaching du Mentorat et de la Supervision (CACMES) est alors un important levier de professionnalisation du coaching sur le continent, en initiant les actions idoines garantissant que :
- des mesures de sécurisation du titre de “Coach” en Afrique soient prises,
- les pratiques du métier de coach soient uniformisées ;
- le métier de coach soit reconnu par les pouvoirs publics dans les pays d’Afrique,
- la formation aux métiers de coach soit prise en compte dans les institutions de formation publiques et privées.
Comment l’Afrique contribue-t-elle à la normalisation du coaching ?
Contribuer à la normalisation du coaching au niveau mondial, pour l’Afrique, c’est d’abord poser les bases de la structuration du secteur au niveau continental, en mettant en avant les forces de notre démarche et la pertinence de nos résultats de recherche au service du coaching en général.
Il s’agit de mettre en œuvre une démarche holistique et collective, au-delà des efforts individuels, pour positionner le coaching comme posture professionnelle spécifique d’accompagnement de l’humain (tant au niveau individuel que collectif) vers l’atteinte d’objectifs et de l’épanouissement personnel et professionnel en Afrique, comme le cas ailleurs.
Cette démarche, selon les recommandations des Journées scientifiques internationales du coaching édition 2023 (JSIC-2023), cela doit passer nécessairement (Rapport définitif JSIC-2023, p.116-117)[8] par :
- l’harmonisation de la définition du coaching et de validation d’un référentiel de compétences adapté et uniformisé pour la certification des coachs sur le continent,
- la création et vulgarisation d’une charte de régulation du coaching sur le continent,
- la coordination du processus de labellisation des formations et d’accréditation des coachs sur le continent,
- la promotion de la recherche scientifique et les plaidoyers pour la reconnaissance juridique du métier de coach au niveau africain.
Ces différents axes font l’objet d’un travail minutieux du CACMES qui décline sa vision stratégique : « à l’horizon 2030, le coaching est structuré, reconnu et originalement pratiqué en Afrique, tout en étant aligné sur les standards internationaux ».
Jean-François YOMAN a rassuré le public de son engagement à faire abourtir cette mission gigantesque, à son élection officielle à la tête de cette structure continentale : « ensemble avec le mindset, le soulset et le asset nous y arrivons. Le Coaching sera au toit de notre Afrique par le travail de chacun et de tous. C’est le lieu de dire merci à chacun de ceux et celles qui par leur travail et leur abnégation ont rendu et rendent encore possible la viabilité du CACMES ».
[1] https://emcc-ch.org/fr/a-propos-de-nous/
[2] Un entretien avec Fadhila Brahimi, gérante du cabinet RH FB-Associés et membre de l’ICF Publié le 06/01/2013, mis à jour le 22/04/2016 https://www.focusrh.com/formation/coaching/le-coaching-se-normalise-28548.html ; consulté le 22 décembre 2022, à 13h00 TU
[3] Le coaching professionnel inscrit dans la liste des professions autorégulées par les autorités européennes » sur ICF France, 5 mars 2014 (consulté le 2 février 2023).
[4] « Répertoire national des certifications professionnelles : Coach Professionnel », sur France compétences (consulté le 2 février 2023) sur
[5] « Résumé descriptif de la certification Code RNCP : 31971 [archive] », sur France Compétences (consulté le 2 février 2023)
[6] « Histoire du SIMACS », sur Syndicat interprofessionnel des métiers de l’accompagnement, du coaching et de la supervision (consulté le 2 février 2023). Consulté sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Coaching#cite_note-:1-14
[7] « Histoire du SIMACS », sur Syndicat interprofessionnel des métiers de l’accompagnement, du coaching et de la supervision (consulté le 2 février 2023). Consulté sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Coaching#cite_note-:1-14
[8] Journées scientifiques internationales du coaching (2023). Processus de normalisation du coaching : Position et contributions de l’Afrique. Personal & Profesional Development Center of Africa (PPDC), Rapport des 1res journées scientifiques internationales du coaching, Lomé, Togo, 149 pages.