(Agence Société Civile Média) – « Torture environnementale », c’est le nom que donne le CRAPH (Comité d’Action pour la Promotion des Droits de l’Homme) à la situation que vivent les riverains et les passagers du carrefour Petit séminaire-poste de Tokoin hôpital à Lomé. Ce lundi, cette organisation togolaise de défense des droits de l’Homme était sur les lieux pour interpeller les autorités et leur demander de réagir pour en finir avec les odeurs nauséabondes d’eaux usées qui s’échappent des égouts atteints par des travaux de réfection de cette voix.
« La situation est arrivée au point où l’on doit siffler la fin de la récréation pour entreprendre des actions à l’endroit des autorités en charge de l’assainissement dans le but de mettre fin à cette torture environnementale », ont déclaré les responsables du CRAPH devant des journalistes invités sur les lieux.
Et au président de cette organisation, Dossey Sohey,de demander aux autorités togolaises « de prendre leurs responsabilités, chacun en ce qui le concerne, pour le rétablissement de la situation ».
En décembre dernier, le CRAPH avait soutenu les victimes des litiges fonciers de Davié (arrêtés et déférés à la prison civile de Lomé) en leur apportant des vivres et non vivres.