(Société Civile Média) – Dans le cadre de la 8e mission d’appui de la Banque Mondiale, également une mission d’achèvement du Projet de gestion intégrée des terres et des catastrophes (PGICT), les acteurs impliqués dans sa mise en œuvre se sont réunis ce lundi pour faire une revue sur l’état de réalisation de toutes les composantes et activités du projet.
Cette mission sera l’occasion pour les équipes de la Banque mondiale et du Gouvernement togolais ainsi que tous les acteurs impliqués dans l’exécution du projet, de faire le bilan des réalisations. Le PGICT qui arrive à sa fin le mois prochain, a permis d’après les acteurs, d’installer des Unités de secours des sapeurs-pompiers de manière à renforcer leurs capacités d’intervention, dans les situations d’urgences, de réaliser plusieurs ouvrages dans plusieurs localités du pays et de renforcer les services hydrométéorologiques et le mécanisme de transmission de l’information.
Malgré ses résultats et en raison des besoins encore immenses pour le Togo, le gouvernement togolais a sollicité de nouveau e la banque mondiale, un fonds additionnel pour le PGICT. « Cette seconde phase du projet devient plus que nécessaire pour relever les défis de l’amplification des résultats du PGICT…», a indiqué Sama Boundjouw, le Secrétaire général du ministère de l’environnement, représentant le ministre André Johnson.
La Banque mondiale réitère son engagement à soutenir les efforts du gouvernement togolais en matière de la résilience aux effets néfastes des changements climatiques et la lutte contre la pauvreté. Rappelons que le PGICT a démarré depuis 2012 au Togo, et financé à hauteur de 10 milliards de francs CFA par la Banque Mondiale.